La Méthode Qui Décide Tout

La Différence Ne Ment Jamais

J’ai observé le sifflet final du groupe B comme un match de minuit à Chicago — froid, silencieux, implacable. Formé à Northwestern sur les modèles PER et TS%, je sais : quand les équipes sont à égalité, ce n’est pas la différence de buts qui compte — c’est la différence nette entre elles.

Trois Buts ou Rien

Si Madrid perd de trois buts ou plus contre Botafargo ? Ils sont éliminés. Pas de deuxième chance. Pas de “peut-être”. Paris avance même en perdant contre Seattle Bay — car son bilan direct est +3 contre Madrid. Ce n’est pas du hasard ; c’est des données.

Le Nul Qui Décide Tout

Si Madrid fait match nul avec Botafargo ? Alors Botafargo mène avec 7 points. Paris monte en deuxième place — non pas pour la différence de buts, mais parce qu’il a battu Madrid directement. Ici, la narration ne vient pas des émotions — elle vient des cellules de tableur.

Quand Les Chiffres Mentent (et Vous Gagnez)

Maintenant — si Madrid bat Botafargo ET Paris bat Seattle Bay ? Alors on a égalité à trois équipes : toutes à 3 pts. Différence nette : Madrid -4, Paris +3, Botafargo +1. Cela signifie : si Paris gagne — et seulement alors — Madrid doit gagner par trois buts nets exactement. Pas deux. Pas quatre. Trois. J’ai vu ce scénario se jouer avant — dans les salles d’école d’Englewood Park où les enfants visent encore la gloire avec des maillons déchirés et des tableaux blancs. Ce n’est pas un théâtre footballe — c’est une algèbre appliquée sous les lumières du stade.